Mariella (Mariella) gallienii (Boule, Lemoine & Thévenin 1907) |
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Cénomanien (-96 à -92 millions d'années) inférieur
Région Diana - Madagascar
Diamètre = 1,5 cm (.59")
Mariella Nowak 1916
Albien supérieur à Cénomanien inférieur.
Tubercules plus ou moins équidistants. Section intercostale arrondie. La différenciation en taille et espacement des rangées de tubercules mène à Turrilites et en nombre de rangées à Hypoturrilites.
Mariella Nowak 1916
Albien supérieur à Cénomanien inférieur.
Angle apical variable, généralement assez grand. Enroulement serré. Section du tour plus ou moins circulaire. Côtes légèrement obliques, plutôt faibles, portant chacune 4 tubercules plus ou moins semblables.
Turrilitidae Gill 1871
Albien moyen à Cénomanien supérieur.
Ammonites hétéromorphes à enroulement hélicoïdal lâche ou serré, dextre ou senestre. L’hélice est régulière, mais les derniers tours peuvent marquer une certaine instabilité. L’angle apical est normalement aigu. L’ornementation est fortement costulée et/ou tuberculée, très rarement lisse.
Turrilitoidea Meek 1876
?Aptien supérieur à Maastrichtien supérieur.
Ensemble de familles, directement ou indirectement dérivées des Anisoceratidae ou Hamitidae, incluant pratiquement toutes les morphologies connues chez les hétéromorphes. Comprend des genres costulés, tuberculés et lisses. Les sutures quadrilobées contrastent avec les sutures quinquélobées des Ancyloceratoidea. Elles ont généralement des lobes latéraux bifides, mais ils peuvent être trifides chez les genres les plus anciens. La séparation avec les Ancyloceratoidea du Crétacé inférieur est justifiée par une radiation évolutive ayant stabilisé ces nouvelles caractéristiques suturales.
Turrilitina Beznosov & Mikhailova 1983
Ammonoidea Zittel 1884
Cephalopoda Cuvier 1797
Mollusca Linnaeus 1758
Bilateria: Protostomia Hatschek, 1888: Grobben 1908
Eumetazoa Butschli 1910
Animalia Linnaeus 1758
Eukaryota Whittaker & Margulis 1978
2019. Lebrun, P.
Les hétéromorphes : d’insolites ammonites. 4. Madagascar, la Grande-Île australe aux déroulées et réenroulées du Crétacé austral
in Fossiles, revue française de paléontologie - No 37 - Editions du Piat
p 25, fig 10, 13 (=Mariella gallienii (BOULE, LEMOINE & THÉVENIN 1907))
1999. Matsumoto, T. & Kawashita, Y.
The turrilitid ammonoid Mariella from Hokkaido - Part 2 (Studies of the Cretaceous ammonites from Hokkaido and Sakhalin-LXXXVI)
in Cretaceous Research - Vol. 3, no. 3 - Academic Press Inc. (London) / Elsevier
p 169, fig 5 (=Mariella (Mariella) gallienii (BOULE, LEMOINE & THEVENIN, 1907) - lien
1996. Wright, C., W. & Kennedy, W., J.
The Ammonoidea of the Lower Chalk. Part 5.
in Monograph of the Palaeontographical Society - Issue 601, part of Volume 150 - The Palaeontographical Society - London
p 333, pl 98, fig 2, 3, 25, 27 (=Mariella (Mariella) gallienii gallienii (BOULE, LEMOINE & THEVENIN, 1907)) - lien
1971. Kennedy, W., J.
Cenomanian ammonites from Southern England
in Special Papers in Palaeontology - Nb 8 - The Palaeontological Association
p 27, pl 7, fig 3, 4 (=Ostlingoceras gallienii (BOULE, LEMOINE, and THEVENIN), pl 8, fig 2 (=Ostlingoceras aff. gallienii (BOULE, LEMOINE, and THEVENIN) - lien
1964. Collignon, M.
Atlas des fossiles caractéristiques de Madagascar (Ammonites) - Fascicule XI (Cénomanien)
Service Géologique Tananarive - Ministère d’Etat chargé de l’Economie Nationale - République Malgache
p 12, pl CCCXX (=Paraturrilites gallienii BOULE LEMOINE & THEVENIN)
Contenu révisé le 27 septembre 2024 - Fiche générée le 27 septembre 2024 - 1ère publication le 24 février 2015
Individu tellement écrasé qu’il est plus approprié de donner son diamètre que sa hauteur... Il garde néanmoins tous les caractères ornementaux de l’espèce.
Espèce de la sous-zone à Carcitanense.
Angle apical de 22°. Face exposée aplatie, jonction modérément marquée, finement crénelée. Partie supérieure délicatement ornée de nombreuses côtes faiblement prorsiradiées qui se renforcent en tubercules étirés transversalement, situés plus ou moins à mi-flanc, puis s’affaiblissent notablement sur une bande assez large, avant de se renforcer de nouveau en fins tubercules, étirés obliquement, bien au dessus de la jonction avec le tour suivant, une troisième rangée prenant place juste au dessus de cette jonction. Les côtes continuent sur la face inférieure, avec une quatrième rangée masquée.