Saghalinites wrighti Birkelund 1965 |
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Maastrichtien (-72 à -65 millions d'années) supérieur
Pyrénées-Atlantiques - France
Diamètre = 6,1 cm (2.40")
Saghalinites Wright & Matsumoto 1954
Santonien supérieur à Maastrichtien supérieur.
Formes évolutes, serpenticônes, à faible taux d’expansion. Section arrondie, légèrement déprimée, devenant trapézoïdale à octogonale. Ombilic peu profond, large. Ventre légèrement bombé avec une ride siphonale sur les tours externes. Test lisse à l’exception de ligne d’acroissement et 4 à 8 faibles constrictions par tour, généralement très obliques et incurvées mais très variables, légèrement concaves sur le ventre, parfois associées à un col. Suture simplifiée à selle arrondies à terminaisons quasi-phylloides, lobe externe plus profond que le lobe latéral, lobe suspensif large et rétracté, faible lobe septal. [d’après Hoffmann 2015]
Tetragonitinae Hyatt 1900
Aptien supérieur à Maastrichtien.
Dérivés de l’espèce Eogaudryceras duvali à l’Aptien supérieur ou de l’espèces Eogaudryceras raspaili au Barrémien supérieur.
Section anguleuse dans les tours internes, pouvant devenir arrondie et renflée dans les tours externes. Selles principales trifides. Constrictions plus marquées que chez les Gaudryceratinae. Le lobe septal est réduit chez certains représentants. [d’après Hoffman 2015]
Tetragonitidae Hyatt 1900
Dérivés de Protetragonites (Lytoceratinae) au Barrémien.
Plus involutes que les Lytoceratidae, à section moins circulaire devenant anguleuse chez certaines formes. Développement de plusieurs selles auxiliaires. Coquille lisse ou ornée de lirae, stries ou même occasionnellement de fortes côtes jamais crénulées. Constrictions généralement présentes.
Lytoceratoidea Neumayr 1875
Jurassique et Crétacé
Super-famile issue des Psiloceratinae au Jurassique inférieur.
Ammonites planispiralées très évolutes. Section généralement ronde, ornée de stries, côtes, tubercules, constrictions et collerettes chez les formes à enroulement normal. Suture à 3 paires de selles très complexes à terminaisons généralement non phylloïdes. Lobe ventral très peu profond, provoquant une asymétrie importante de la première selle latérale. Présence d’un lobe septal dans toute la super-famille. Tendance à développer des lobes bifides. [d’apres Hoffmann 2015]
Ammonitina Hyatt 1889
Ammonoidea Zittel 1884
Cephalopoda Cuvier 1797
Mollusca Linnaeus 1758
Bilateria: Protostomia Hatschek, 1888: Grobben 1908
Eumetazoa Butschli 1910
Animalia Linnaeus 1758
Eukaryota Whittaker & Margulis 1978
2003. Niebuhr, B.
Late Campanian and Early Maastrichtian ammonites from the white chalk of Kronsmoor (northern Germany) - taxonomy and stratigraphy
in Acta Geologica Polonica - Vol. 53 (2003) - Université de Varsovie
p 263, pl 1, fig 4 (=Saghalinites wrighti BIRKELUND, 1965) - lien
1993. Birkelünd, T.
Ammonites from the Maastrichtian White Chalk of Denmark
in Bulletin of the Geological Society of Denmark - vol. 40 - Geological Society of Denmark
p 45, pl 1, fig 6, 7, pl 2, fig 1, 3, 4, 6 (=Saghalinites wrighti BIRKELUND, 1965) - lien
1993. Ward, P., D. & Kennedy, W., J.
Maastrichtian Ammonites from the Biscay Region (France, Spain)
in Memoirs of the Palaeontological Society - Vol. 34, Supplement to Vol. 67, no. 5 of the Journal of Paleontology (Sep., 1993) - The Palaeontological Society, Inc.
p 21, pl 19, 20 - lien
1986. Kennedy, W., J. & Summesberger, H.
Lower Maastrichtian ammonites from Neuberg, Steiermark, Austria
in Beiträge zur Paläontologie Österreichs - 12 - Universität Wien. Paläontologisches und Geoogisches Institutes
p 186, pl 1, fig 4, 5, 7, pl 3, fig 4, text-fig 3 (=Saghalinites wrighti BIRKELUND, 1965) - lien
Contenu révisé le 3 août 2024 - Fiche générée le 4 août 2024 - 1ère publication le 23 septembre 2012
Individu déformé et aplati, comme toute la faune. Un peu redressé virtuellement sur la deuxième photo.
Espèce du Maastrichtien inférieur à supérieur (Groenland, Europe du nord, Autriche, Pays-basque)
Enroulement serpenticône. Ombilic évasé. Mur ombilical plat, flanc arrondi, ventre large, faiblement concave, épaulement latéro-ventral étroit et arrondi, une crête faible et arrondie marque sa jonction avec le ventre. Outre les constrictions, ornementation de stries très prorsiradiées, rectilignes en partie interne et latérale du flanc, mais recourbées en arrière et concaves en partie externe et à l’épaulement latéro-ventral. Une faible crête siphonale peut exister.