Liparoceras (Liparoceras) pseudostriatum Trueman 1919 |
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Pliensbachien (-191 à -184 millions d'années) inférieur
Calvados - France
Diamètre = 9,5 cm (3.74")
Epaisseur à l’ouverture = 5,8 cm (2.28")
Liparoceras Hyatt 1867
Pliensbachien inférieur.
Ornementation généralement forte. Premier lobe latéral aussi long que le lobe externe.
Liparoceras Hyatt 1867
Pliensbachien inférieur.
Tours croissants rapidement en hauteur. Ombilic profond. Costulation fine à robuste, traversant un ventre arqué. Flancs portant deux rangées de tubercules et souvant des lirae. Suture à grand lobe latéral et selle externe proéminente.
Liparoceratidae Hyatt 1867
Pliensbachien.
Famille issue des Eoderoceratidae.
Famille polymorphe à genres sphaerocônes involutes - groupe phylétiquement homogène et conservateur - d’une part et à genres capricornes platycônes évolutes - à évolution très dynamique - d’autre part. Ces derniers s’enracinent au Carixien moyen parmi les formes sphaerocônes et n’en sont pas les dimorphes microconques comme cela a pu être évoqué par certains auteurs.
Eoderoceratoidea Spath 1929
Ammonitina Hyatt 1889
Ammonoidea Zittel 1884
Cephalopoda Cuvier 1797
Mollusca Linnaeus 1758
Bilateria: Protostomia Hatschek, 1888: Grobben 1908
Eumetazoa Butschli 1910
Animalia Linnaeus 1758
Eukaryota Whittaker & Margulis 1978
2009. Edmunds, M.
A revision of the Lower Jurassic ammonite genus Eoderoceras Spath and its immediate descendants and other relatives
in Monograph of the Palaeontographical Society - Vol. 163. No. 633 - The Palaeontographical Society - London
p 72, pl 37, fig 1 (=Liparoceras pseudostriatum TRUEMAN, 1919)
2004 (Deuxième Édition). Sciau, J.
Coup d’oeil I sur les fossiles des Causses. Du primaire au Lias moyen.
Association Paléontologique des Causses
p 68, pl XXV, fig 3 (=Liparoceras pseudostriatum (TRUEMAN, 1919))
1997. Dommergues, J.-L., Meister, C. & Mouterde, R.
Pliensbachien
in Cariou, E., Hantzpergue, P. & al. - Biostratigraphie du jurassique ouest-européen et méditerranéen - Chap. 3 - ELF Exploitation Production
p 18 (=Liparoceras pseudostriatum (TRUEMAN))
1987. Dommergues, J.-L.
L’évolution chez les Ammonitina du Lias moyen (Carixien, Domérien basal) en Europe occidentale
in Documents des Laboratoires de Géologie de Lyon - No 98 - U.F.R. des Sciences de la Terre - Université Claude Bernard - Lyon I
gr. pl 12, fig 9, 10 (=Liparoceras gr. pseudostriatum-kilsbiense) - lien
1986. Meister, C.
Les ammonites du Carixien des Causses (France) - Thèse de Doctorat
in Mémoires suisses de Paléontologie - Vol. 109 - Société helvétique des sciences naturelles - Birkhaüser Verlag Basel
p 57, pl XIII, fig 2, 3 (=Liparoceras pseudostriatum (TRUEMAN 1919))
1979. Dommergues, J.-L.
Le Carixien bourguignon. Biostratigraphie. Paléogéographie. Approches paléontologiques et sédimentologie. Thèse de doctorat
Université de Dijon. Institut des Sciences de la Terre
gr. pl 6, fig 10 (=Liparoceras gr. pseudostriatum (TRUEMAN))
1938. Spath, L., F.
A catalogue of the Ammonites of the Liassic Family Liparoceratidae in the British Museum (Natural History)
The British Museum (Natural History) and by B. Quaritch Ltd, Dulau & Co Ltd, and The Oxford University Press
p 57, pl III, fig 3, pl VI, fig 4 (=Liparoceras pseudostriatum TRUEMAN) - lien
Contenu révisé le 10 août 2024 - Fiche générée le 10 août 2024 - 1ère publication le 22 février 2007
Individu proche du type de L. pseudostriatum TRUEMAN 1919, figuré par Spath (1938).
Espèce de la partie supérieure de la sous-zone à Valdani et sous-zone à Luridum (Meister 1986, Dommergues & al. 1997).
Liparoceras pseudostriatum est mis en synonymie avec Liparoceras heptangulare (YOUNG & BIRD 1828) par Dommergues & Meister (2008) ou encore Dommergues & al. (2008), ce qui n’est pas suivi par Edmunds (2009) ni Fauré & Bohain (2017, p 93), qui en extraient au moins Liparoceras kilsbiense SPATH 1938 et Liparoceras pseudostriatum. Elle constitue le pôle involute de la population post-cheltiense, à croissance rapide en épaisseur. Les formes typiques portent 20-22 tubercules externes pour 12-13 tubercules internes au diamètre de 100 mm. Le mur ombilical est haut et fortement costé. Entre les deux rangées de tubercules, la costulation est très irrégulière.