Parapuzosia (Parapuzosia) sp. |
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Santonien (-87 à -83 millions d'années) moyen
Aude - France
Diamètre = 12,2 cm (4.80")
Parapuzosia Nowak 1913
Coniacien/Santonien inf. à Campanien.
Côtes principales plus ou moins rapprochées dans les tours jeunes. La loge d’habitation des macroconques adultes est lisse. Les macroconques des espèces les plus récentes comptent les plus grandes ammonites connues : plus de 2,5 mètres pour P. seppenradensis (Campanien d’Allemagne).
Parapuzosia Nowak 1913
Cénomanien inf. à Campanien.
Généralement de très grande taille. Modérément involute. Tours hauts. Comprimé à flancs allant de plats à plutôt convexes. Constrictions sur les tours jeunes, remplacées tôt ou tard par de fortes côtes principales associées à de courtes secondaires ou intercalaires sur le tiers externe du flanc.
Puzosiinae Spath 1922
Hauterivien inférieur à Maastrichtien inférieur.
Comprend les plus grandes ammonites connues. Généralement plus ou moins évolutes. Section du tour ovale à ronde. Flancs plats ou convexes, généralement à fortes constrictions au moins sur la partie externe, mais parfois lisses. Genres tardifs à sutures finement découpées, à lobe suspensif fortement rétracté. Genres primitifs assez uniformes, à sutures simples et lobe suspensif moins rétracté.
Desmoceratidae Zittel 1895
Hauterivien inférieur à Maastrichtien supérieur.
Formes généralement de section arrondie ou ovale, mais parfois lancéolées ou carénées. L’ornementation est lisse, ou tout au moins faible. Les constrictions sont communes. Le dimorphisme sexuel est prononcé : les macroconques ont une ouverture simple ; les microconques ont souvent des apophyses et un rostre.
Desmoceratoidea Zittel 1895
Valanginien supérieur à Maastrichtien supérieur.
Formes à tours de section généralement ronde ou ovale, mais parfois lancéolée ou carénée. Ornementation communément inexistante où formée de faibles côtes, mais certains genres et certaines familles sont fortement costulés et tuberculés. Les constrictions sont communes. Les sutures sont simples à complexes, à lobe suspensif rétracté ou non, lobe latéral symétrique ou trifide asymétrique chez pratiquement tous les groupes. Dimorphisme prononcé. Les macroconques ont une ouverture simple. Les microconques portent des apophyses ou un rostre chez la plupart des familles. Les apophyses semblent absentes chez les Pachydiscidae.
Ammonitina Hyatt 1889
Ammonoidea Zittel 1884
Cephalopoda Cuvier 1797
Mollusca Linnaeus 1758
Bilateria: Protostomia Hatschek, 1888: Grobben 1908
Eumetazoa Butschli 1910
Animalia Linnaeus 1758
Eukaryota Whittaker & Margulis 1978
2010. Remin, Z.
Upper Coniacian, Santonian, and lowermost Campanian ammonites of the Lipnik-Kije section, central Poland - taxonomy, stratigraphy, and palaeogeographic significance
in Cretaceous Research - 31 (2010) - Academic Press Inc. (London) / Elsevier
- lien
1995. Kennedy, W., J., Bilotte, M. & Melchior, P.
Ammonite faunas, biostratigraphy and sequence stratigraphy of the Coniacian-Santonian of the Corbières
in Bulletin des Centres de Recherche Exploration-Production ELF-Aquitaine - Vol. 19, No 2 - ELF Exploration-Production
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1982. Immel, H., Klinger, H., C. & Wiedmann, J.
Die Cephalopoden des Unteren Santon der Gosau von Brandenberg/Tirol, Österreich
in Zitteliana - 8 - Bayerischen Staatssammlung für Paläontologie und Geologie
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1981. Bilotte, M. & Collignon, M.
Biostratigraphie et paléontologie des ammonites du Sénonien inférieur de Rennes-les-bains - Sougraigne (Aude) [Zone sous-pyrénéenne orientale]
in Mémoire Maurice Collignon - Document des Laboratoires de Géologie de Lyon - Hors Série No 6 - U.F.R. des Sciences de la Terre - Université Claude Bernard - Lyon I
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1894. Grossouvre (de), A.
Recherches sur la Craie Supérieure
Imprimerie Nationale
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Contenu révisé le 3 août 2024 - Fiche générée le 4 août 2024 - 1ère publication le 21 mai 2006
Niveau de l’association à T. gallicus et N. carezi, c’est à dire base du Santonien moyen dans les Corbières.
Cet individu a une costulation irrégulière et particulièrement flexueuse. Côtes longues nombreuses. Certaines, précédées par une constriction, restent plus fortes que toutes les autres côtes jusque sur la région siphonale, ce qui la différencie à la fois de P. corbarica et P. daubreei connues dans les Corbières au même niveau.