Acanthoceras pseudorenevieri (Spath 1926) |
||
Cénomanien (-96 à -92 millions d'années) moyen
Sarthe - France
Diamètre max. = 16,4 cm (6.46")
Epaisseur mesurable = 4,5 cm (1.77")
au diamètre de = 14,6 cm (5.75")
Acanthoceras Neumayr 1875
Cénomanien.
Nom tiré des feuilles d’Acanthe, auxquelles les sutures ressemblent.
Tours initiaux ronds à carrés avec des tubercules ombilicaux, latéro-ventraux internes/externes et siphonaux. Côtes divisées ou alternant longues et courtes. Sur les tours externes, elles deviennent simples et uniformes ou gardent une alternance longues et courtes et s’affaiblissent parfois. Les tubercules siphonaux peuvent disparaître alors que les latéro-ventraux peuvent fusionner en d’imposantes cornes.
Acanthoceratinae De Grossouvre 1894
Cénomanien inf. à Turonien moy.
Formes dont certaines ont des tubercules dominants et d’autres des côtes dominantes, toutes possédant des tubercules siphonaux au moins à certains stades de croissance.
Acanthoceratidae De Grossouvre 1894
Albien sup. à Coniacien.
Explosion évolutive à partir du Cénomanien. Tuberculation généralement très forte. Au moins un tubercule ombilical et un latéro-ventral dans la plupart des genres. Pour certains cependant, la costulation domine la tuberculation. Pour d’autres, l’ornementation peut-être très atténuée ou même absente du tour externe. Enroulement généralement évolute. Section comprimée à très déprimée. Dimorphisme sexuel matérialisé seulement par la taille.
Acanthoceratoidea Grossouvre 1894
Albien inférieur à Maastrichtien.
Formes typiquement fortement costulées tendant à développer une tuberculation proéminente, mais incluant aussi une large variété d’autres types.
Ammonitina Hyatt 1889
Ammonoidea Zittel 1884
Cephalopoda Cuvier 1797
Mollusca Linnaeus 1758
Bilateria: Protostomia Hatschek, 1888: Grobben 1908
Eumetazoa Butschli 1910
Animalia Linnaeus 1758
Eukaryota Whittaker & Margulis 1978
1993. Kennedy, W., J. & Juignet, P.
A revision of the ammonite faunas of the type Cenomanian. 4. Acanthoceratinae (Acompsoceras, Acanthoceras, Protacanthoceras, Cunningtoniceras and Thomelites)
in Cretaceous Research - 14.2 - Academic Press Inc. (London) / Elsevier
p 169 (=Acanthoceras pseudorenevieri (SPATH, 1926))
1983. Moreau, P., Francis, I., H. & Kennedy, W., J.
Cenomanian Ammonites from Northern Aquitaine
in Cretaceous Research - Vol. 4 - Academic Press Inc. (London) / Elsevier
p 329, fig 8 (=Acanthoceras (Acanthoceras) pseudorenevieri (SPATH, 1926))
1972. Thomel, G.
Les Acanthoceratidae cénomaniens des chaînes subalpines méridionales
in Mémoire de la Société Géologique de France - Nouvelle série - Tome LI - Feuilles 1-13 - No 116 - Centre National de la Recherche Scientifique
p 160, pl LXXX, fig 1-4, pl LXXXI, fig 4, 5 (=Dunveganoceras liguriense nov. sp.), p 161, pl LXXXI, fig 1-3 (=Dunveganoceras liguriense compressum nov. subsp.)
1926. Spath, L., F.
On the zones of the Cenomanian and the uppermost Albian
in Proceedings of the Geologists’ Association - 37 - Geologists’ Association, London
p 431 (=Acompsoceras pseudorenevieri nom. nov. pro Amm. renevieri, GUERANGER 1867 non SHARPE)
Contenu révisé le 26 octobre 2023 - Fiche générée le 2 décembre 2023 - 1ère publication le 19 août 2000
Sous-zone à Costatus de la Craie de Théligny, juste au dessus des bancs les plus riches en A. rhotomagense. Seul exemplaire de cette forme trouvé dans cette formation. D’abord affecté à Acompsoceras sp. par rejet d’Acanthoceras rothomagense forme clavatum, mais aussi d’A. pseudorenevieri car Kennedy & Juignet (1993) lui attribuent à tort un "lack of obvious umbilical bullae", je suis revenu à cette espèce par sa proximité avec la figure de Moreau & al. (1983), individu juste un peu plus robuste.