Dumortieria gr. moorei (Lycett 1857) |
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Toarcien (-184 à -175 millions d'années) supérieur
Deux-Sèvres - France
Diamètre = 2,2 cm (.87")
Dumortieria Haug 1885
Toarcien supérieur (zone à Pseudoradiosa à zone à Aalensis).
Genre comptant de nombreux morphotypes. Coquilles évolutes, à section généralement comprimée, carène peu développée et côtes simples, rigides, non tuberculées.
Dumortieriinae Haug 1885
Toarcien supérieur (zone à Pseudoradiosa) à Aalénien inférieur (zone à Opalinum).
Graphoceratidae Buckman 1905
Toarcien supérieur à Bajocien inférieur.
Lignée anagénétique d’espèces biologiques évoluant graduellement, chacune montrant un large éventail de variations qui couvre différents genres morphologiques décrits dans la littérature. (Chandler & Callomon, 2009).
Formes modérément à très involutes, à section comprimée et carène sand fond. Ornementations variées de côtes fortes, faibles ou stries sinueuses à falcoïdes, disparaissant occasionnellement sur les tours externes. Tubercules rares. Constrictions absentes. Presque tous les genres sont dimorphiques. Les microconques portent des apophyses jugales. Les macroconques sont de 3 à 5 fois plus grands et ont un péristome simple et sinueux.
Hammatoceratoidea Schindewolf 1964
Toarcien inf. (sommet zone à Serpentinum) à Bajocien inf. (zone à Humphresianum).
Grand ensemble, issu des Phymatoceratinae ou des Hildaites en même temps que les Phymatoceratinae.
Ammonitina Hyatt 1889
Ammonoidea Zittel 1884
Cephalopoda Cuvier 1797
Mollusca Linnaeus 1758
Bilateria: Protostomia Hatschek, 1888: Grobben 1908
Eumetazoa Butschli 1910
Animalia Linnaeus 1758
Eukaryota Whittaker & Margulis 1978
2023. Rulleau, L., Lacroix, P., Le Pichon, J.-P. & Ové, F.
Les Graphoceratidae (Dumortieriinae, Tmetoceratinae et Leioceratinae) du Toarcien supérieur et de l’Aalénien inférieur et moyen
Dédale Éditions
pars. p 42, text-fig 17, fig 5 (=Dumortieria moorei (LYCETT)), gr. pl 18, fig 7, pl 19, fig 4 (=Dumortieria gr. moorei morphe linearis BUCKMAN), pl 19, fig 2, 3, 5, 6, pl 20, fig 2, 5, 6 (=Dumortieria gr. moorei (LYCETT)), cf. pl 20, fig 1 (=Dumortieria cf. moorei (LYCETT))
2021. Arp, G., Gropengießer, S., Schulbert, C., Jung, D. & Reimer, A.
Biostratigraphy and sequence stratigraphy of the Toarcian Ludwigskanal section (Franconian Alb, Southern Germany)
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fig 15.10 (=Dumortieria moorei (LYCETT)) - lien
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in Ferrantia - 83 - Centre de Recherches Scientifiques du Museum d’Histoire Naturelle du Luxembourg
p 30, pl 9 (=Dumortieria moorei (LYCETT, 1857)) - lien
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Les ammonites des zones à Dumortieria et Aalensis du Toarcien supérieur de la région de Millau, Aveyron
Association Paléontologique des Causses, Millau
p 12, pl 4, fig 8, 14 (=Dumortieria gr. moorei LYCETT)
2008. El Hammichi, F., Benshili, K. & Elmi, S.
Les faunes d’Ammonites du Toarcien-Aalénien du Moyen Atlas sud-occidental (Maroc)
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2008. Seyed-Emami, K., Fürsich, F., Wilmsen, M., Majidifard, M., R. & Shekarifard, A.
Lower and Middle Jurassic ammonoids of the Shemshak Group in Alborz, Iran and their palaeobiogeographical and biostratigraphical importance
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fig 4W, 5I, K (=Dumortieria moorei (LYCETT, 1857)) - lien
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Biostratigraphie et paléontologie du Lias supérieur et du Dogger de la région lyonnaise
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Ammonites des terres noires des Grands Causses
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The Liassic Ammonite zones and subzones of the north-west European Province
in Bulletin of the British Museum (Natural History) - Geology - 7 (2) - British Museum of Natural History
pl 74, fig 5 (=Dumortieria moorei (LYCETT)) - lien
Contenu révisé le 3 août 2024 - Fiche générée le 4 août 2024 - 1ère publication le 27 août 2003
Specimen bizarrement sculpté, en positif, dans une coquille d’huître ! D’ailleurs, c’est plutôt un fossile de coquille d’huître... On pourrait imaginer que cette dernière ait, au cours de sa croissance, moulé l’empreinte du rocher sur lequel sa larve s’était accrochée, cette empreinte étant comme par hasard un négatif de fossile... donc bien antérieur à l’huître (c’est elle qui est Toarcien sup.). Un fossile de fossile en quelque sorte... ou un original phénomène de remaniement, mais la vérité est autre. Première chose troublante, il s’agit ici d’une valve droite, celle qui sert d’opercule et ne se fixe jamais sur le rocher. Il apparaît qu’elle ait tendance à reproduire la forme de la valve gauche qui, elle, devait bien être collée à l’ammonite. Cette dernière, si elle était sans doute morte, n’en était pas moins contemporaine. Ce phénomène est nommé xénomorphisme.
Le groupe de D. moorei réunit des Dumortieria très finement costées. Sommet de la zone à pseudoradiosa.